LA FORCE
Plus personne n'osait sortir de la ville, encore moins d'y entrer
Une force venue de je ne sais où , se mit en quête d'attendrir la bête
Quelque chose remua dans le fond
un petit oiseau tout frileux s'éveillait , son coeur battant très fort a la vue de la bête
Je ne sais qu'elle idée eue la force, qui avait errer toute la nuit, entourée de fleurs de jasmin, pris en ses bras des fleurs d'amandes douces
donnant le tout à la bête,et celle ci fortement rassasiée, disparue sous le clair de lune
Les abeilles enchâssées dans leur gel royal, appelèrent le roi David, qui entonna de sa harpe la musique divine
des anges volerent , explorant les parages, chanterent que le bête s'était endormie sur ses deux oreilles
et en trois tour de mains, les honnêtes gens construisent un petit théâtre dont les auteurs seraient des marionnettes
La force disparue,six heures sonna
Les voix se turent, faisant place a la conscience
La reine attirée par le silence, accourue effrayer , une bougie à la main
L'azur apparue et on cru voir un fantôme de bohème monter sur le disque lunaire sur le dos de la bête
MARIE THERESE